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ARTICLE AU HASARD

Sweet Home – la série

RÉSUMÉ

Sweet Home est une série qui mérite le coup d’œil pour ses qualités visuelles et son début percutant, mais dont l’exécution inégale sur la longueur laisse une impression mitigée. Malgré ses défauts, elle demeure une expérience atypique dans le catalogue Netflix, entre horreur viscérale et drame humain, à savourer au moins pour sa saison 1 et ses monstres mémorables.

Sweet Home – la série

Sweet Home : critique de la série Netflix adaptée du Webtoon éponyme

Song Kang incarne Cha Hyun-soo dans Sweet Home, un lycéen reclus confronté à une apocalypse de monstres. La série Sweet Home est un drama horrifique sud-coréen diffusé sur Netflix, inspiré du webtoon à succès de Kim Carnby et Hwang Young-chan (plus de 2 milliards de vues en ligne). Sortie fin 2020 sur Netflix, elle compte trois saisons (la saison 3 concluant la série en juillet 2024). Réalisée par Lee Eung-bok (connu pour Goblin et Descendants of the Sun), cette production Studio Dragon a bénéficié d’un budget conséquent de ₩30 milliards, soit 3 milliards de wons par épisode, pour donner vie aux créatures cauchemardesques qui peuplent son univers. Le pari a payé : Sweet Home a été le premier K-drama à intégrer le Top 10 Netflix aux États-Unis (jusqu’à la 3e place), cumulant 22 millions de spectateurs sur les 4 premières semaines et un Top 10 dans 70 pays. Mais au-delà des chiffres, que vaut réellement cette série apocalyptique ?

Synopsis et genèse de l’adaptation Netflix

Sweet Home nous plonge dans un contexte apocalyptique : des humains se transforment soudainement en monstres sanguinaires, semant la terreur à travers le pays. Au cœur du chaos, Cha Hyun-soo (incarné par Song Kang), un adolescent solitaire et dépressif, emménage dans la résidence Green Home. Tandis que la métamorphose monstrueuse gagne la ville, Hyun-soo et les autres résidents se retrouvent piégés dans l’immeuble et doivent lutter pour leur survie. Chaque créature représente le désir inavoué qui consumait son hôte humain – une subtile métaphore de la monstruosité intérieure. Hyun-soo lui-même se découvre infecté mais parvient à résister à la transformation complète, développant d’étranges capacités qu’il tente de mettre au service des survivants. Sweet Home mélange ainsi survival horror et drame humain, en explorant la solidarité (et les tensions) d’un petit groupe hétéroclite assiégé par des monstres aussi variés que terrifiants (du colosse bodybuildé aveugle au gluant tentaculaire). Notons que cette adaptation a été voulue assez libre : le réalisateur connaissait la fin du webtoon mais a délibérément pris ses distances avec le matériau d’origine, étant « sur une plateforme différente ». Les auteurs du webtoon eux-mêmes avaient encouragé Netflix à s’écarter de l’intrigue originale afin de proposer une perspective alternative, le comic n’étant pas encore achevé lors du tournage.

Principales différences avec le Webtoon (Spoilers)

Comme souvent, la transposition du webtoon à l’écran s’accompagne de changements significatifs – ici Sweet Home version Netflix prend même de grandes libertés. Parmi les différences majeures, on note l’ajout du personnage inédit de Seo Yi-kyung (interprétée par Lee Si-young). Absente du webtoon, cette ex-pompier badass enrichit la série de ses scènes d’action musclées et sert l’intrigue en cherchant l’origine du mal (chose que le webtoon n’expliquait pas clairement). Le passé de certains protagonistes diverge également : par exemple Pyeon Sang-wook, le mystérieux justicier balafré joué par Lee Jin-wook, est décrit dans le manhwa (les comics coréens) comme un ex-policier violent radié des forces de l’ordre, alors que la série le présente comme un homme au lourd passé de gangster justicier (sa cicatrice résultant d’un sauvetage dans les flammes). Ces choix impactent les relations entre personnages : dans le webtoon, Sang-wook (appelé Wook Pyeon) finit par former un duo avec la soignante Yu-ri, tandis que la série prend une tournure bien plus tragique – Yu-ri meurt dans ses bras en fin de saison 1, laissant le sort de Sang-wook incertain. Plus globalement, la conclusion de la saison 1 diffère drastiquement de celle du webtoon. Le K-Drama introduit un antagoniste inédit, Ui-myeong, un humain infecté manipulateur qui pousse Hyun-soo à se rendre aux militaires – une sous-intrigue absente du comic. Dans le manhwa original, c’est un tout autre personnage – Eun-hyeok (le leader rationnel du groupe, joué par Lee Do-hyun dans la série) – qui finit par muter en monstre tentaculaire pour stopper Hyun-soo, menant à la mort des deux et à la formation de cocons mystérieux. La série Netflix, elle, s’achève initialement sur une note plus ouverte : Eun-hyeok meurt en sacrifice héroïque (enseveli lors de l’évacuation) tandis que Hyun-soo part avec Ui-myeong/Sang-wook, laissant planer le doute sur leur destinée. Enfin, les saisons 2 et 3 de l’adaptation s’éloignent encore davantage de l’œuvre originale, inventant de nouveaux arcs. La saison 2 notamment – qui voit les survivants quitter Green Home pour un monde en ruines – introduit pléthore de personnages inédits sans toujours soigner leur développement, un changement de cap radical qui a dérouté de nombreux fans du webtoon1. Résultat : en détruisant l’immeuble initial et en s’éloignant de ce qui faisait le charme anxiogène de la saison 1, la série a pu diviser son public. Si cette liberté créative offre des surprises et un univers étendu, elle s’est faite au prix d’une certaine cohérence narrative, la série partant dans des directions imprévisibles (et parfois frustrantes) par rapport à l’histoire d’origine2.

Distribution et acteurs principaux

La force de Sweet Home, c’est aussi son casting internationalement reconnu qui mêle jeunes étoiles montantes et visages confirmés du drama coréen. En tête d’affiche, le rôle du tourmenté Cha Hyun-soo a été confié à Song Kang, véritable chouchou de Netflix. L’acteur de 31 ans, révélé par Love Alarm, Nevertheless ou Forecasting Love and Weather, a même été surnommé le « fils de Netflix » tant il enchaîne les premiers rôles sur la plateforme3. Anecdote savoureuse : lors de son audition, Song Kang a rappelé au réalisateur Johnny Depp dans Edward aux mains d’argents – « une âme innocente armée d’une lance » selon Lee Eung-bok. Son jeu candide mêlé de rage contenue fait merveille pour incarner Hyun-soo, un héros malgré lui auquel il apporte une vulnérabilité sincère. À ses côtés, Lee Jin-wook prête sa carrure imposante à Pyeon Sang-wook, l’anti-héros taciturne. Lee Jin-wook est connu du public pour ses rôles marquants dans des genres variés : le voyage temporel romantique Nine: Nine Times Time Travel (2013), le thriller Voice, ou plus récemment sa présence au casting de la méga-production Squid Game 2 sur Netflix. Son interprétation nuancée du « gangster repenti » Sang-wook – brutal en apparence mais profondément loyal – apporte une intensité palpable à l’écran.

Distribution du casting de la série Sweet Home
Les acteurs principaux de la série Sweet Home

Côté féminin, la série frappe fort avec Lee Si-young dans le rôle de Seo Yi-kyung, l’ex-pompier intrépide. À 38 ans, Lee Si-young est une actrice confirmée (Boys Over Flowers, Poseidon, The Guardians) mais aussi une sportive accomplie – championne de boxe amateur. Le réalisateur voulait « une femme capable de scènes d’action spectaculaires », et Lee Si-young a relevé le défi haut la main.

Parmi les résidents de Green Home, on retrouve également Lee Do-hyun dans le rôle de Lee Eun-hyeok, le cerveau froid du groupe. Ce jeune acteur de 30 ans, récompensé Meilleur espoir masculin en 2021, a explosé ces dernières années avec des premiers rôles remarqués (18 Again, Youth of May) et une performance saluée sur Netflix dans The Glory (le thriller vengeance phénomène de 2022). Son jeu tout en retenue sert parfaitement Eun-hyeok, leader pragmatique qui cache ses angoisses derrière des décisions rationnelles. Sa sœur à l’écran Lee Eun-yu est incarnée par Go Min-si, autre étoile montante aperçue aux côtés de Song Kang dans Love Alarm. Elle brille également dans le mélodrame historique Youth of May et a fait ses preuves au cinéma (The Witch: Part 1, Smugglers). Go Min-si apporte à Eun-yu un mélange d’insolence, de fragilité et de courage qui la rend très attachante en adolescente rebelle traumatisée par l’apocalypse. Enfin, impossible de ne pas citer Park Gyu-young, qui joue Yoon Ji-su, la bassiste au grand cœur armée d’une batte de baseball. Révélée par le drama à succès It’s Okay to Not Be Okay en 2020 puis Squid Game Saison 2 plus récemment. Ici, elle incarne Ji-su avec une énergie communicative et une émotion à fleur de peau, formant un duo touchant avec le preux Jae-heon (Kim Nam-hee, connu pour Mr. Sunshine). L’alchimie de cette distribution et la galerie de personnages variés – du petit garçon orphelin au bricoleur en fauteuil en situation d’handicap – contribuent pour beaucoup à l’immersion du spectateur dans Sweet Home. Même si l’écriture de certains rôles reste sommaire, les acteurs investissent l’écran avec une intensité qui nous fait croire à cette communauté improvisée face à l’enfer.

Critique de la série : un démarrage foudroyant, une course en dents de scie

Sweet Home, Netflix, Webtoon, Série

Après un démarrage en trombe, Sweet Home réussit-elle à tenir en haleine sur la longueur ? La saison 1 pose d’emblée une atmosphère suffocante réussie. La série nous happe avec un premier épisode haletant – cadavres qui s’animent, voisins monstrueux surgissant sans crier gare – le tout servi par des effets spéciaux de haute volée. Le public et la critique ont salué la qualité de ces VFX dignes d’un film, fruit du travail d’équipes ayant œuvré sur Game of Thrones ou Stranger Things. La créature bodybuildée (surnommée Protein Monster) ou le terrifiant monstre à langue tentaculaire font forte impression par leur design grotesque et inventif. Surtout, Sweet Home parvient dans ses premiers chapitres à distinguer son propos de la simple série de zombies : « malgré un pitch déjà vu, la série se démarque par son cadre et ses monstres originaux », note Decider. Enfermer l’action dans un immeuble exigu crée un sentiment d’huis clos oppressant qui renouvelle le genre apocalyptique. Le spectacle n’oublie pas l’émotion non plus : les intrigues personnelles des résidents – du deuil du père de famille au sacrifice du vieil homme malade – apportent de la profondeur humaine. À ce titre, The Times of India souligne qu’« on n’a pas besoin d’aimer l’horreur pour apprécier la série, grâce aux multiples sous-intrigues des personnages […] l’action est grandiose et le drama émouvant à divers niveaux ».

Cependant, si Sweet Home démarre sur les chapeaux de roues, elle cale quelque peu en milieu de parcours. Après 4–5 épisodes intenses, le récit patine et adopte un rythme plus inégal. Certaines ficelles dramatiques sont tirées avec moins de finesse, et la série tombe dans un schéma plus classique de survival. Bloody Disgusting a ainsi regretté qu’après des débuts excitants, Sweet Home se mue en « apocalypse zombie au ralenti qu’on a déjà vue mille fois, sauf qu’on a troqué les zombies pour des monstres ». Le milieu de saison 1 souffre en effet de quelques longueurs, la faute à des allers-retours émotionnels parfois redondants et à une diminution de la présence des monstres à l’écran. Ce choix, volontaire de la part du réalisateur, visait à éviter la surenchère gore pour mieux développer les personnages. Louable intention – et certains épisodes centrés sur les dilemmes moraux ou les flashbacks passés sont touchants – mais on sent que la série perd un peu de son mordant horrifique en route. D’autant que la bande-son a de quoi décontenancer : des morceaux de rock américain entraînants du groupe « Imagine Dragons » mais en décalage total avec l’ambiance horrifique, un choix musical très critiqué par les fans. Ces chansons pop-rock en plein siège de monstres peuvent faire sortir du moment (imaginez du Imagine Dragons lors d’une scène censément effrayante). Dommage, car l’ambiance sonore joue pour beaucoup dans l’immersion d’une œuvre d’horreur, et ici elle manque parfois sa cible.

La saison 2, sortie trois ans plus tard, a quant à elle pris le parti de la rupture. Nouveau décor (fini l’immeuble, place au vaste monde extérieur post-apocalyptique), nouveaux personnages à foison, et scénario quasi-original n’ayant plus grand-chose à voir avec le webtoon. Ce changement de direction audacieux a le mérite d’élargir l’univers – on découvre des laboratoires cherchant un remède, des militaires aux motivations troubles, et même un groupuscule de “néo-humains” ayant dompté leur monstruosité. La production reste solide : les combats gagnent en ampleur, avec notamment une bataille impressionnante contre un monstre géant en pleine ville. On salue aussi la performance de Yoo Oh-seong et Oh Jung-se, guest stars charismatiques de cette saison 2. Hélas, l’ensemble part un peu dans tous les sens. En voulant en faire trop (trop de persos, trop d’intrigues secondaires), la série s’éparpille et perd de vue ce qui faisait sa force initiale – la cohésion du groupe de Green Home. Hyun-soo, protagoniste central, se retrouve relégué au second plan pendant une bonne partie de la saison 2, choix déroutant qui a déplu aux fans. L’émotion se dilue et le scénario accumule les facilités. En clair, Sweet Home saison 2 souffre d’une crise d’identité : à vouloir réinventer la formule, elle a déboussolé son public sans forcément convaincre sur ses nouveaux axes narratifs.

Heureusement, la saison 3 – annoncée comme la dernière – tente de resserrer les boulons. Netflix a visiblement entendu les critiques et recentré l’histoire sur nos personnages favoris de la première heure. Hyun-su (Song Kang) revient au premier plan pour le final, retrouvant la dynamique avec Eun-hyuk (Lee Do-hyun) et Eun-yu (Go Min-si) qui avait tant manqué auparavant. Le début de cette saison 3 renoue avec ce qu’on aimait : rythme haletant, enjeux clairs, et quelques moments de bravoure (un combat aérien complètement déjanté, ou la réunion émouvante de nos trois héros emblématiques évoquant le titre Sweet Home et l’importance du foyer). Song Kang y est impérial, incarnant un Hyun-su plus torturé que jamais, luttant pour son humanité. La presse coréenne a salué son évolution, « Song Kang illumine l’écran » – il a littéralement retrouvé la lumière après une saison 2 où son personnage restait trop dans l’ombre. Pour autant, tout n’est pas rose dans ce bouquet final. Sweet Home 3 accélère brutalement dans ses derniers épisodes, au point de saboter sa conclusion. Les intrigues lancées à grand renfort de mystère (le fils-cocon du chef Ji, la fiole secrète du Dr Lim censée être du sang de monstre, l’origine des immortels “néo-humains”) ne sont jamais résolues : le scénario les évacue ou les oublie purement et simplement. Le spectateur reste avec des questions plein la tête et un sentiment d’inachevé. C’est d’autant plus frustrant que la série ne prévoit pas de saison supplémentaire pour y répondre. Un exemple criant : tout au long des saisons 2–3, on nous tease un “monstre cocon” issu du fils muté d’une militaire, présenté comme une menace imminente… qui finalement n’aboutit à rien, l’intrigue étant abandonnée en cours de route. De même, on n’en saura pas plus sur les laboratoires et le remède éventuel. Cette fin précipitée et ces pistes abandonnées laissent un goût amer, comme si le train Sweet Home avait entamé sa course en montagnes russes – une montée excitante, une belle boucle – avant de s’arrêter net en gare sans prévenir. « Un grand huit qui démarre sur une ascension grisante mais finit par un coup de frein brutal », résume un critique.

Enfin, un mot sur le jeu d’acteur et la caractérisation dans l’ensemble de la série. Si certains acteurs tirent clairement leur épingle du jeu (Song Kang a gagné en maturité, Lee Do-hyun fait preuve d’une sobriété poignante, Go Min-si est excellente d’impertinence), d’autres prestations peuvent sembler plus stéréotypées. On pense à certains personnages secondaires aux réactions un peu caricaturales (le militaire psychopathe très méchant, la mère de famille geignarde, etc.). Le surjeu pointe parfois, ce qui pourra dérouter un public occidental peu habitué aux codes du mélodrame coréen – où l’émotion est souvent amplifiée. Cela dit, difficile de savoir si c’est un véritable défaut de jeu ou une question de différences culturelles dans la manière d’exprimer les sentiments. Par exemple, des scènes de détresse ou de colère pourront sembler excessives à un spectateur européen, alors qu’elles sont tout à fait dans la norme du jeu asiatique. Quoi qu’il en soit, ces légères maladresses n’entachent pas fortement l’expérience, et l’on s’attache malgré tout à cette brochette de personnages imparfaits mais humains, qui tentent de garder une étincelle d’humanité au milieu des monstres.

En somme, Sweet Home version Netflix est une œuvre ambitieuse et imparfaite, qui aura su proposer une vision rafraîchissante du drama d’horreur tout en trébuchant sur la durée. Une série à deux visages : haletante et innovante dans sa première partie, puis plus chaotique et convenue ensuite. Reste un divertissement généreux en action et en émotions, porté par des acteurs investis et une réalisation soignée. Mais on ne peut s’empêcher de penser que Sweet Home aurait pu devenir un classique du genre si elle était restée plus concentrée sur ses atouts initiaux.

Bilan : une maison sucrée-salée

Pour conclure, voici notre évaluation finale de Sweet Home selon plusieurs critères :

  • Scénario et narration : 50% – Une intrigue de départ prenante et riche en symbolique, mais qui se dilue sur la fin, avec des incohérences et des arcs abandonnés en route. Certains entrelacements de scènes sont difficiles à suivre.
  • Personnages et interprétation : 65 % – Des personnages variés et attachants globalement bien interprétés (mention spéciale à Song Kang et Lee Si-young), bien que certains tombent dans le stéréotype ou le surjeu.
  • Réalisation et effets visuels : 65 % – Une mise en scène efficace. Les monstres, conçus avec l’aide d’équipes ayant travaillé sur Avatar et Avengers, offrent un spectacle horrifique de haute qualité. Parfois, l’ensemble manque de clarté et il peut-être compliqué de comprendre ce qu’il s’est passé.
  • Bande-son et ambiance : 40 % – Un point faible de la série. Si l’ambiance générale est bien instaurée, le choix de musiques rock inadaptées et l’absence de thèmes marquants nuisent à l’immersion.
  • Originalité du concept : 55 % – Le mélange survival/monstres intérieurs était prometteur et apporte des idées intéressantes (la métaphore des désirs, le huis clos), mais la série finit par retomber dans des schémas convenus du genre apocalyptique.

Note finale : 55 %Sweet Home est une série qui mérite le coup d’œil pour ses qualités visuelles et son début percutant, mais dont l’exécution inégale sur la longueur laisse une impression mitigée. Malgré ses défauts, elle demeure une expérience atypique dans le catalogue Netflix, entre horreur viscérale et drame humain, à savourer au moins pour sa saison 1 et ses monstres mémorables.

Voici mes sources pour l’écriture de cet article :

  1. « Sweet Home Season 3 Review: Song Kang owns the spotlight, but the finale is marred by unresolved moments » ; publié par TOI Entertainment Desk ; Times Of India ; timesofindia.indiatimes.com ↩︎
  2. « Sweet Home: 10 Differences Between The K-Drama And The Webtoon » ; Samona Punjabi ; Epicstream ; epicstream.com ↩︎
  3. « Sweet Home (TV series) » ; auteurs multiples ; Wikipedia ; en.wikipedia.orgen.wikipedia.org ↩︎

DE MON POINT DE VUE

Scénario & Narration
50 %
Personnages & Interprétation
65 %
Réalisation & Visuels
65 %
Bande-son & Ambiance
40 %
Originalité
55 %

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